Tuesday, August 28, 2007

L'Etrange Garçon aux Songes




Un Etrange Garçon aux Songes

Il s'attache

Regarde les vues d'ensemble

Fume dans son dressing

Il se couche sur un lit

Il se fait peur

Quelques notes sur un piano

Il y a comme un goût de gaz au fond de ses yeux

Il est étrange de voir
Des anges et d'y croire
Au fond, on s'en fout
Surtout

La fumée me pique les yeux

Une cigarette entre les doigts

La vie qui va

Il se fait tard et il retourne dans son lit

J'irais le voir plus tard

Se dire des mensonges

Au fond la nuit est noir

Il me dit : "Tu pleurs parfois ?"

Un songe pour l'hiver

Accrocher au mur dans sa cave

Il y a beaucoup de garçons

Fait tourner ma tête

Des effluves suprêmes

Ô Garçon

Aux corps nus et aux bras décharnés

Embrasse moi sur la bouche

Je le dirais pas aux autres

Cache moi

Nous sommes bien peu de chôses

Donne moi quoi quelques larmes

Au fond on s'en fout

Dis moi que je suis fou

Dis encore

Fais moi l'amour

Comme un songe

Sois un mensonge

Sois l'Etrange Garçon aux Songes

Sunday, August 26, 2007

Communautaire Chérie, Communautaire

Where Do I Begin

Ecoute Shiley Bassey, ça c'est communautaire chérie !

Week end de Tango

J'ai croisé des jolis garçons aux lèvres qui pleurent

J'ai enfin pu voir un bloggeur, moi ? lui parlé ? moi ? abordé quelqu'un qui me plait ? Non, mais faut pas déconner non plus...^^

J'ai pu éteindre le chauffage et ça c'est une bonne nouvelle

Bientôt, la rentrée.

Bref, je retourne ranger la baraque avant que les vieux rappliquent et fasse un arret cardiaque !

Diamonds are Forever - Shirley Bassey

Tuesday, August 21, 2007

La peau qui brûle

Le regard coupa la conversation
Les yeux étaient violents
Sur la table, de la neige était posée négligement
Une tape sur l'épaule suffit à me faire tomber

C'était un garçon de dix-neuf ans
Chatains Foncés
J'aurais dit un mètre soixante dix sans doute un peu plus
Il était légerement musclé mais semblait plus que fragile

Il me laissa à terre
Je n'osais bouger
Je n'avais pas peur
Je ne voulais pas le décevoir
Il pris la poudre d'Ange dans sa main
Il me la tendis
J'en reniflais une partie
Il se releva d'un coup
Ne pas bouger
Ne pas réagir

Il arracha d'une main la moitié de mes vêtements
L'abhorrable corps était nu
La moquette me brûlait le corps

Je ne savais pas vraiment où j'étais
Et pour ne rien arranger, un masque vint me boucher la vue
La sensation du cuir
Il mit le reste de la coke dans mon hypogée
je me sentais partir
Les coups tombaient progessivement
Je sentais la douleur
Qui revenait
Rougir ma peau un peu plus

Je ne voulais pas le décevoir
Lui montrer que je pouvais
Que je savais
Que j'étais fort
Je voulais qu'il sache
Le lingam enfonçant la poudre toujours plus loin
La tête me tournait
Ne plus crier
Crier
Pleurer
Tout passait
Se cassait
Et puis
Les grandes Orgues de la Petite Mort
Surgirent de nulle part
Je ne sais
Ni comment ni pourquoi
Tout s'en alla
La sueur perla sur son front
Il me regarda
Et me chuchota en un sourire
"C'était bien, hein?"

Monday, August 20, 2007

Vous, au regard troublant

Il y a des gens troublant
Des gens qui ne disent rien
Qui sont là
Des présences
Un regard qui se détourne
Il y a des sourires perturbant
Une chute de rein
Un peu de rien
Des mots à se dire
Des rêves une utopie
L'envie de vous revoir
La drogue qui créait le fantasme
Un peu de neige pour attiser le feu
Brûlant au fond de moi
Un peu de neige même en été
Pour revoir les instants passés
Le passé qui sourit
L'Amoureuse du Luxe
Et puis vous
Vous, au regard tremblant

Sunday, August 19, 2007

Martin

Y'a rien à faire
Les conseils je sais pas les suivre


Ce soir, j'avais envie d'un calin
De passer la nuit dans les bras de quelqu'un
Un peu d'attention
De quelqu'un qui s'en foute de ce que j'ai fait
Oui, j'ai fait la pute et il m'arrive de la refaire
Oui, je suis allé à la Dauphine et plus d'une fois
Oui, je me suis drogué
Oui, je me suis ouvert les veines
Pendant trop de temps
La seule forme de tendresse que j'ai reçu
C'était les clients
Les plans culs
La violence pour seul tendresse
Oui, je suis pire que tout
Une horreur
Une conne qui fait l'animation,
Qui écoute
Je suis Simon La Pute
Je suis ZoA La Folle
Je suis Ziggy Le Drogué
Mais ce soir je ne suis aucun d'eux
Je suis celui que personne ne connait
Je suis Martin
Martin qui pleure
Martin qui veut aimer
Martin qui s'en prends pleins la gueule
Martin qui n'est pas drôle
Martin qui déprime
Martin qui est toujours seul
Martin qui se travelote pas
Martin qui fume
Martin qui s'enfonce des clopes dans les bras pour pouvoir sourir
Martin qui fait chier
Martin qui disparait
Martin qui veut jamais voir personne
Martin qui a peur
Martin qui est lunatique
Martin qui se plaint tout le temps
Martin qui va mal

Martin que personne ne connait
Apart Julie, Annick, Yorick
Martin personne ne le connait
Martin personne ne veut le connaitre
Martin il avale trop de médicament
Martin il a la tête dans les étoiles
Martin il fume trop
Martin il s'attache trop vite
Martin il veut toujours plus
Martin est tout seul chez lui
Martin veut voir personne
Martin il joue du piano la nuit
Martin il a peur
Martin il fume
Martin personne ne l'aime
Par ce que personne ne veut l'aimer

Les trottoirs de la Dauphine
Les Squats de Montreuil


Martin il pleur

Friday, August 17, 2007

Soeur Roma Chante

Je crois que je vais pas m'en remmettre ^^

Wednesday, August 15, 2007

Une nuit sur le trottoir

Lundi Soir
Maquillage à l'arrache
Pendant une nuit, on a arpenter les trottoirs du Bois de Boulogne, de la Porte Dauphine
Enfin de compte, ce n'est rien.

Juste un peu de temps pour moi
Juste un peu de réconfort pour elles, du café aussi
Prendre le temps d'écouter celles que personne ne veut écouter
Aimer celles que personne ne veut aimer
Prendre le temps de connaitre un peu celles que plus personne ne connait.
Tendre une main
Faire un bisou
Un regard
Certaines en larmes de temps d'attention
Quelques Capotes offertes avec un petit gateau et un café.
J'ai passé une nuit avec les frangines, une nuit auprès des prostituées.
J'y retournerais...
De toute façon je suis amoureuse de Lola

Sunday, August 12, 2007

New Morning

Bon, On arrete de faire l'ado teen pop cool tshuuu rebelle dépréssif accro Lexomil powwwwaaaa.

On redémarre.

D'accord c'est pas en écoutant Instant Martyr - Mika que ça va allez mieux mais bon on fait avec...Et pis c'est joli comme chanson.

Donc pour commencer la journée, une bonne nouvelle, un nouveau projet de série voit le jour.
Ca me change des téléfilms et pis bon une histoire de jeunes, de voyages, ok c'est un peu pédé sur les bords mais bon.

Au détour de mes tribulations youtoubiennes, je suis tombé sur lui et lui c'est Ikare .
Non les filles, on arrete de baver de suite.
La petite vidéo en prime c'est tellement plus drôle ^^

Un truc m'a fichonné dans les commentaires de la vidéo, une espèce d'hétéro beauf laisse en commentaire "Tu joues sur ta séxualité pour te faire un personnage different." Argfhrouf !
Le genre de chose qui m'énerve direct. Alors je vais protester contre Nicolas Sarkozy car il mets trop en avant sa sexualité en montrant ses enfants. Idem contre Ségolène Royal.
Qu'on arrete de nous prendre pour des cons ! Tout les hétéros mettent en avance leur séxualité. Vous allez voir bientôt, ne pas afficher une sexualité sera le maaaaaaal.

Bref Topic de nuit blanche donc de débalage inutile. Il est 15h04 j'ai l'impression qu'il est 10h00.

Autre site autre garçon tip top choupi dreamy bitch girly suce ma bite chiennasse.
Des photos, des auto portraits plutôt. Très beau et c'est ici
Idem on ne bave pas sinon le clavier est boussillé...^^

Parfois du haut de mes 4 notes et des mes trois mots j'ai envie de lui proposer de faire des folies, rien de sexuel encore heureux.


Des choses bizarres sortent de ma tête :
- Tu suces ?
- Oui
- Tu avales ?
- Oui
- Mortel !
- Oui...


Autre constatation :
Certains passage de Marivaux peuvent semblés ambigüe de nos jours...
Je vous laisse savourer.

La Princesse et Hortense demande à Arlequin de parler un peu de son maître, Lélio, qui fait chavirer le coeur de la Princesse. Voici donc la rencontre du Maître et du Valet raconter par Arlequin

Arlequin

[...]Je l'ai rencontré comme il sortait d'une bataille ; je lui fis un petit plaisir ; il me dit grand merci. Il disait que son monde avait été tué ; je lui répondis : tant pis. Il me dit : tu me plais, veux-tu venir avec moi ? Je lui dis : tope, je le veux bien. [...]

Acte I; Scène III
Le Prince Travesti ou L'Illustre Aventurier de Marivaux

Oui, je sais il m'en faut peu.

Je retourne à mon piano, peut-être serais-je tenter de comprendre quelque chose aux codes et autres, histoire d'améliorer ce blog qui me tiens de plus en plus à coeurs...

Entre nous soit dit, j'ai écris une jolie ballade en anglais...

Friday, August 10, 2007

Le Garçon de Trop...

Je suis le garçon de trop
Sympa mais pas très beau
Je suis le garçon qui fait tache
Le garçon qui s'attache
Le garçon que l'on aime bien
Quand ça ne va pas bien
Je suis le garçon qui est là
Toujours quand ça ne vas pas
Le garçon qu'on oublie
Quand la vie est jolie
Personne ne couche avec
Moi je suis pas le beau mec
Je suis son confident
Les jours de sale temps
Mais si tout vas mieux
Et qu'il faut être amoureux
Je suis le garçon de trop
Qu'on laisse sur le carreau
Le garçon qu'on evite
Mais on revient très vite
Quand dans les yeux y'a la pluie
Et qu'il faut avoir un ami
Je suis le garçon qu'on appelle
Qui n'a des ailes
Que s'il sait réconforter
Mais les perds s'il faut aimer
Je suis le garçon de trop
Un peu moche mais rigolo
Qui sait faire oublier
Les problèmes, fait rigoler
Je suis le garçon de trop...

Wednesday, August 08, 2007

Les nuits satins

Les nuits sont blanches
A défaut d'être chaude
Elles chantent la Commune à 6h00 du mat'
Les nuits se cassent comme des rêves
Au bruit qu'elles font quand elles dorment
Les nuits font mal aux poignets et aux chevilles
Mais les nuits sont exitantes
Les nuits sont nues dans des draps propres
Les nuits sont de satins et les noces sont blanches
Elles se torturent l'esprit
Les nuits se font mâle
Et s'habillent de Prada
Les nuits sont
Diaboliques
Orgasmiques
Fanstatiques
Artistiques
Océaniques
Organiques
Carismatiques
Magnifiques
Fantasmagoriques
Vient que je te nique

Et les réveils sont roses...

Saturday, August 04, 2007

Mosey

Alors, je n'aime pas vraiment les post à la suite, mais bon
Je me suis dit que ça valait le coup
Alors pour une fois pas de poèsie à la mords moi le neud mais une info

Connaissez vous le "crew" Crime Chantilly ?
Ou encore Mosey ?
Non ?
Mais comme se fesse ? comment s'anus ?

Allez je vous le donne en mille, c'est un des fils de Sarkozy...

On me croit pas ?

On va vérifier soi même alors^^
http://www.myspace.com/moseyproducer

Viens prendre une baffe



Orgasmique

Life

Tout amour vaut il la peine d'être vécu ?
Pour un "Je t'aime" laché
Combien de larmes ?
Combien de solitude ?
Combien sont seuls ici ?

Question insoutenable

la souffrance qui s'accumule

Combien de Morts Pour être Fier ?

Après tout,
Ce que j'ai vu
Comment sourire ?
Comment vivre après avoir vu la mort ?

Les blessures ouvertes et jamais refermées
Par qui par quoi ?

Une bouche qui se tort
Des esprits qui se torturent

Des yeux qui semblent vides
Et des corps qui refusent de grandir
Des adultes qui font peur

Désir
Partir
Loin
Voir si la douleur laisse place à la douceur

Si on peut vivre
Enfin de compte
Qu'est l'important ?

Sourire quand on a plus rien à perdre
Pour être libre il ne faut n'avoir que nos rêves
Utopies Adolescentes

Le désespoir qui necesse de creuser le plus doux des visages

C'est parfois aussi ça la vie.

Mais sans cela, ce ne serait plus vraiment la vie

Et par ce que trop n'est jamais assez

Par ce qu'il faut comprendre le déespoir avant de le hurler

Je finirais bien par tomber amoureux

Vous voyez déjà ça va mieux...

Petite Soeur des Temps Passés

Il y a des sourires qui ne s'oublit jamais
Que l'on refuse de mettre dans le tiroir des choses passées
Il y a des bonheurs
Il y a des rêves
Et puis après tout ça, on se dit que la vie s'écroule

Des cachettes secrètes dans des arbres
Secret inavouable devant personne

Des amours que l'on se refuse de dire

Divisions de la Pop vous dites ?

Trois années chargées en perspective dans les deux sens

On aurait dit petite soeur en d'autre lieu
De blessures à l'âme et des mots doux entre aperçu
Voila peut être ce qu'il reste
Des sourires
Des larmes parfois

Où tu iras je te suivrais
Où tu voudras

Je t'ai fais peur, mal, pleurer
Le recul des années qui passent est trop facile

Des confessions entendu
Sur ma bouche close coule des mots tristes
Secret
Comme un refuge.
Chaque soir trop noir envahit par un chagrin
Toujours poursuivre

Se dire que tu vas bien
Que tu n'as pas trop mal là où tu es
Que tu vives les jolies choses de la vie
Les mots se viandent sur mes doigts

La souffrance pas la rancoeur
L'amour pas la haine
Les rêves pas les cauchemars
Ne vit pas ma vie

Protège toi

Les mains sont toujours tendus
Combien de larmes n'as tu pu sécher ?

Des photos qui trainent sur des bureaux
Des mots volés sur des volets

Bercy tout nu
Acheter un Espace à ta mère

Prends soin d'elle et embrasse là
Elle qui a parfois peur

Les rêves ne sont pas fait pour être brisés
Vivre
Comme un appel au secour
Comme une déclaration d'amour
Vivre
Sans regret
Sans chagrin
Sans adieu

Les drogues muettent de nos villes qui ne peuvent couler en ces veines

Et comme la violence d'une absence peut être cruelle
Souffrance

J'espère que tu comprendras

Je serai l'année prochaine à l'ECM-ISAS

Je te jure, la vie vaut la peine d'être vécue...

Tu manques à ma vie

Celui qu'on appella en d'autre temps, le grand frère

Suicide is Disco

Quelque chose sonne faux dans la voix.
D'un trait le problème fut traité.
On tire un trait, merci et au revoir

Il se leve de son fauteil en cuir et il alla pisser dans le lavabo.
La pisse jaunatre s'accumulait avant de couler lentement dans le conduis.
La surface était parsemé de petites bulles qui (s') éclaitaient les unes contre les autres.
Ses yeux furent emplis de bonheur.
Cette vision si trash l'exitat.
A tel point qu'il lappa les dernières gouttes de pisses.
Il eu un érection...

J'ai pas lu King Kong Theory alors tant pis

Tous se trame en secret.
Personne pour refuter et faire tomber la faute sur l'autre.
-Va crever ! dit il d'une voix fluette.
-Mais c'est bien ce que je compte faire, retorqua l'autre en sortant un flingue de sa poche.
Il le charga en regardant droit dans les yeux le garçon de dix ans qui venait de lui conseiller de mourir.
Le garçon pris panique, il hurlat hurlat, à tel point qu'il n'entendit pas la détonation.
Un garçon de dix ans hurlait dans la cour, un autre mourrait sur le bitume de l'école.
Qui s'imaginait qu'il se pendrait deux ans plus tard en pleine classe ?
Le professeur de Math s'impatientait. La classe hurlait.
Il se levat et du haut ses douze ans, il interpellat ses camarades en réclamant le silence. Le professeur fut si étonné qu'il releva la tête, ilsavait que c'était un garçon à problème.
-Vous avez déjà vu quelqu'un mourir ? interrogea le garçon toujours sur son petit bureau.
Pendant que tout le monde faisait signe que "non" de la tête, il pris une chaise et la mis sur son bureau avant de monter dessus.
-Bin vous allez voir ! dit il sur un ton de défi.
Le professeur, estomaqué, ne bougeait pas.
Le môme pris alors une cigarette et l'alluma, il fuma un peu en recrachant la fumée sur ses camarades. Puis il se l'écrasa sur le bras, sans sourciller. Il souleva son t shirt et enleva la corde qu'il avait autour du ventre. Il la jeta en l'air pour qu'elle fasse le tour d'un tuyau. Il fit alors plusieur noeuds et passa sa tête à travers le plus gros neud.
-Attention, murmura t il calmement, je vais mourir dans cinq, quatre, trois, deux...un.
Et il sauta.
Le silence était tel qu'on entendit sa nuque se briser sous le choc.

Friday, August 03, 2007

Poudre...

Les incertitudes sont miennes.

La nuit, la danse et le rêve

Envie de mourir de silence ?

Depuis combien d'années suis je morte ?

Ce soir, je danse
Comme si je n'avais jamais dansé
Comme si je dansais pour la dernière fois
Comme si je n'avais plus que ça
Et quand j'ai fini, je pleure.

D'Etoiles ou Blanche ?
Hier ou Age ?

Paris me démange les pieds
La nuit s'étire à n'en plus finir.

Bordel de Merde, c'est pas chic mais ça fait du bien de le dire

J'ai l'impression que vous êtes là à me regarder pourir dans une cage.
Le zoo s'enferme.
Mais faites quelques choses, parlez en à vos amis.
Faites vous de nouveaux amis...

Les douleurs s'écrasent sur des veines abruptes
Je pourrais crier que ça ne changerait rien...

Embrassez moi, sous la pluie, dans la boue ou dans mes rêves
Et enfin je vous sortirais vos larmes tant voulu... désirée qu'elles sont les larmes

Je ne veux plus mourir.
Born to be a Star dira l'autre, alors, vous lui foutrez deux baffes...


Entre nous soit dit, je suis pas content, je sais pas pourquoi, ça m'énerve et donc j'écris de la merde