Saturday, August 19, 2006

A n'en plus pouvoir dormir

Parfois, la nuit ressemble a une sieste, je n'ai dormir que quelques heures, trois tout au plus. Impossible de se rendormir, je ne sais pas pourquoi, alors je me lève, j'ai une heure et demie de trajet à faire ce soir, je ne sais pas comment je vais les tenir... Aller jusqu'a Alma-Marceau puis sortir du métro traverser le pont de l'Alma, descendre dans le rer C allez jusqu'a Saint-Quentin, sortir du rer C prendre le bus 465 surveillez les arrets, et descendre à Paul Eluard, allez jusqu'a chez lui, faire le voyou et enfin dormir...entre nous soit dit.
Polnareff chante doucement, j'éssaye tant bien que mal de me réviller un minimum, Thomas est sur msn mais je ne vais pas lui parler pas trop la force. Même si c'est son anniv' je lui feterais plus tard... Entre nous soit dit.
Certaines personnes n'ont pas besoin de vous parlez pour que vous pensiez à elles, des gens suffisament fort pour vous faire chier même sans vous parler, sans tous les citer je dirais , Sébastien, Laura, Lola, Aïda, Kenza, Zoé et tant d'autres... Le genre de gens que vous croiser dans la rue et avec qui vous restez pendant des heures. Avec qui vous redevenez un enfant.
Je me rappellerais toujours de ce soir-là où un mail appru pour m'annoncer la mort de deux personne que je ne connaissais pas mais qui faisait parmis du plus proche entourage d'un ami, ce soir là je me sentis comme un môme qui ne comprends pas ce qui se passe, qui n'a plus envie de comprendre ce qu'est la vie. Les yeux ouvert sur un horizon sans fin qui vous force à grandir, à ne plus faire de fautes d'orthographes car cela ne serais pas bienvenue dans de tel circonstances. Et puis des mensonges arrivent, pour ne pas faire de mal, des trains qui se prennent pour Bordaux, des hésitations devant un cimetière, la vue d'une foule et des larmes qui viennent se rafraichir sur mes joues, et puis demi tour sans que personne ne m'ai vu des cris dans la rue puis un retour à la gare, je suis rentré le plus vite possible. Comme un gamin qui découvre que son ami est un homme maintenant et que lui aussi il va devoir grandir, découvrir que plus rien ne sera comme avant. Je ne me suis calmé qe dans les bras de ma mère, ma "trav' de mère". Personne n'a jamais rien su de ce très court déplacement à Bordeaux, cela fais déjà quelque mois et je sais bien que dans quelques mois je ne souviendrais pas d'être aller à Bordeaux. Je ne me rapelle que de très peu de chose de ce jour là, de ses heures passées dans cette ville inconnue. Voilà, je voulais consigné ici ce souvenir, et je voulais que tu sache que j'avais été là, bien plus près que tu ne le pensais. Entre nous soit dit.

1 comment:

Anonymous said...

Ce n'est pas le cimetière de Bordeaux, c'est celui de Libourne.

Sorry Angel
Sorry so

Lui:

Le bruit d'une cigarette dans le noir.

Une chanson de Barbara, un livre de duras.

Elle:

Sa capeline noire jouant avec le vent, la voilette épousant son visage.

Le claquement des hauts talons dans les parkings.

Les traces de poussière d'ange sur sa carte bleue.

Eux.