Avec ses cheveux
On pourrait dire Jesus
Hélas pour certains ce n'est point
De lui dont je parle
Audrey devait être fatiguée
Nous sommes alors rentrés
Une rose entre les doigts
Cela faisait longtemps.
Vous me manquiez presque
Et cî-bas je vous jure
Je vous chanterais une chanson
A vous voir, je n'ose
Faire autre chose
Que de la prose
Un jour, promis, nous irons prendre un verre
Près du Sacré Coeur
Pour le lever du soleil.
Vous voyez,
Je n'ai pas changé :
Je fais toujours autant de fautes,
Je suis toujours aussi ennuyant,
Je suis toujours aussi timide,
Vos yeux sont toujours aussi parfait.
...Tes yeux sont si profonds
...Que j'y perds la mémoire...
Ou encore...
...Tes yeux sont si profonds
...Quand me penchant pour boire...
J'ai vu toutes les lunes venir s'y mirer...
Je n'ai pas encore la prétention de pouvoir réécrire Aragon
Mais quand on a rien pour soi,
On fait ce qu'on peut avec ce qu'on a
Autrement dit, pas grand chose...
Je vous jure qu'un jour je vous ferais lire ce que j'écris
Vraiment.
Pas un truc gribouillé à la va-comme-je-te-pousse à 6h34 du matin.
Même pas relu.
Je vous laisse deux semaines pour me proposer un verre,
Après je prendrais les dispositions qui s'impose...
Je vous embrasse...
[Comme sur une musique de Ferrat...
...Tes yeux sont mon Pérou
...ma Golconde
...mes Indes]
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1 comment:
J'aime beaucoup l'univers de ce blog! :-)
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