Par Jérôme Martin, lecteur.
Après son éditorial dans le numéro de Têtu de mars 2007, Thomas Doustaly aura du mal à faire encore mieux. Aide-le : parmi chacune des 5 premières sections, choisis deux énoncés. Combine à l'envie les 10 énoncés sélectionnés ; et remplis les vides avec ton goût du paradoxe gratuit, l'envie d'en découdre avec l'égalité des droits et la volonté de faire passer la droite pour gay-friendly.
Aide-toi de la section 6 pour lier le tout.
Manie les concepts d'homophobie imaginaire, et personnelle, n'hésite pas à faire valider ton discours par l'extrême-droite, décrédibilise ou passe sous silence les revendications des lesbiennes et des trans, et tu obtiendras le nouvel édito de Têtu. A partir des milliers de combinaisons possibles, un exemple d'édito t'est
donné pour avril 2007.
Section 1 : l'homophobie, c'est au fond des êtres.
« Nicolas Sarkozy écoute en secret ABBA. Qui
peut encore oser dire qu'il est homophobe ? ».
« Et pourquoi ne serions-nous pas capables de
croire Jean-Marie Le Pen quand il nous dit qu'il a de très bons amis homos » ;
« Après tout, Philippe de Villiers n'a pas bronché quand sa chargée de communication
lui a dit que sa fille était lesbienne » ;
« Refoulée sans ménagement par le service d'ordre de Sarkozy, la militante d'Act Up se demanda avec une réelle ouverture d'esprit :"n'y a-t-il pas ici de l'homophilie, plus ou moins secrète ?" ».
« On s'intéresse trop à ce que font ou disent ces gens, pas assez à ce qu'ils ou elles ressentent à l'intérieur. »
« Le programme socialiste, en tout cas, dissimule mal les convictions personnelles de
Ségolène Royal, très réticente sur le sujet. »
Section 2 : Nicolas Sarkozy a raison
« Sur ce point, Nicolas Sarkozy a raison. »
« Nicolas Sarkozy a raison sur ce point. »
« Nicolas Sarkozy a, sur ce point, raison. »
« Sur ce point, Nicolas Sarkozy n'a pas tort / ne se fourvoie pas / n'est pas dans l'erreur / ne dit rien de choquant/ ne cherche pas à nous tromper / ne ment pas / ne se paie pas d'illusions / n'hésite pas à recourir au parler vrai / ne recule pas devant la difficulté / ne louvoie pas / n'est pas complexé / ne se contente pas du politiquement correct /ne veut respecter aucun tabou / n'a pas peur de nous bousculer / etc. »
« C'est au moment où j'ai entendu le discours du président de la Pologne que l'homophobie de Nicolas Sarkozy m'a paru bien plus imaginaire que je ne le pensais auparavant. »
« Qui pourrait garantir que l'exclusion de Christian Vanneste de l'UMP n'aurait pas fait le
jeu de l'homophobie ? ».
Section 3 : la gauche et la droite, c'est la même chose.
« Pourquoi ne pas admettre avec Philippe de Villiers que la droite et la gauche, c'est la même chose ? »
« La lutte contre le sida a tellement progressé qu'elle ne représente plus un clivage gauche/droite».
« La lutte contre le sida a si peu progressé qu'elle ne peut en aucun cas faire l'objet d'un
clivage gauche-droite. »
« On a gagné, quel que soit le résultat. »
« François Bayrou est difficile à placer sur l'échiquier politique. »
« Sur ce sujet, l'extrême-droite est au moins cohérente avec elle-même. L'extrême-gauche, elle, ne peut nous faire oublier son passé détestable. ».
« Et je préfère considérer ce qui unit la gauche et la droite, que ce qui les sépare. Cela me
semble procéder d'un réel esprit républicain. »
Section 4 : l'extrême-droite, c'est pas mal quand ça m'aide à avoir raison.
« 'Qui pourrait raisonnablement refuser de croire à mon antisémitisme imaginaire ?'. s'était dit Eichmann à l'ouverture de la conférence de Wannsee. »
« Le regard de Philippe de Villiers est à cet égard éclairant. »
« Au moment où Le Pen évoquait la 'chasse au chapon dans le Marais parisien', je relisais mon éditorial de mars dernier. Ma question sur l'homophilie au sein du FN m' a paru encore plus pressante. »
« Jean-Marie Le Pen n'a pas tort quand il rappelle qu'une certaine extrême-gauche a pu
être antisémite, sexiste et homophobe. »
« Pourquoi ne pas admettre, avec Christian Vanneste, que la droite a échoué sur les questions LGBT ? »
« Regarder nos luttes avec les yeux de Le Pen, ce n'est pas faire le jeu de l'extrême-droite. C'est imposer une exigence, un désir d'absolu à nos revendications. »
Section 5 : LGBT ? Mais y'a trop de lettres !
« Lesbophobie n'est pas un mot qui existe dans le dictionnaire. ».
« La transphobie ? Deux lexomils, une coupe de champagne avant le décollage, et ça me
passe. ».
« On reconnaît les pédés / les gouines qui militent pour le droit à l'adoption parce qu'ils / elles regardent Go Diego / Dora l'exploratrice. ».
« La procréation assistée pour les lesbiennes ne serait-elle qu'un enjeu imaginaire de la
campagne ? »
« J'ai signé des pétitions, mais je n'ai jamais compris pourquoi une institution aussi poussiéreuse que le mariage comptait autant pour les pédés et les gouines.».
« Au fond, tout bien considéré, on ne peut nier que cette question du changement d'état civil soit trop complexe pour être un enjeu intéressant de la campagne à venir. »
« J'ai déjà utilisé le mot 'homoparentalité' dans mon dernier éditorial. »
« 'On a gagné.' Ce titre a choqué. Je ne comprends pas pourquoi.»
« Le PaCS n'empêche pas l'expulsion d'une personne sans-papiers. Heureusement, dans son programme, Nicolas Sarkozy nous promet un meilleur contrôle. ».
« L'arrêt de la Cour de Cassation qui invalide la procédure d'adoption simple pour les
homosexuelles vient nous montrer que Sarkozy n'est pas dans le faux. ».
« Bien sûr, en cas de victoire de Royal ou de Sarkozy, les conséquences ne seront pas les mêmes pour les personnes qui se prostituent, qui n'ont pas de papier, qui consomment de la drogue, qui sont en prison, qui sont précaires. Mais, même si on peut considérer qu'il y a parmi elles des LGBT, on doit aussi se rappeler que le vote est un choix. ».
Section 6 / bonus : clés rhétoriques
« Il faut s'en réjouir. »
« Sur ce point / A cet égard / A ce sujet, Bidule [=le pire ennemi des LGBT] n'a pas tort quand il dit ...»
« Ceux qui crient au scandale n'ont : pas le recul suffisant / n'ont pas assez réfléchi / sont coincés dans leurs habitudes. »
« Ne pourrait-on affirmer sans craindre d'être mal compris que... »
« Cet exercice n'est pas inutile. »
« Pour peu qu'on ait abordé ce sujet avec la distance suffisante »
« Les jeux ne sont pas faits. »
Parmi les possibles éditoriaux, en voici un :
Au moment où Le Pen évoquait la « chasse au chapon dans le Marais parisien », je relisais mon éditorial de mars dernier. Ma question sur l'homophilie au sein du FN m' a paru encore plus pressante. Regarder nos luttes avec les yeux de Le Pen, ce n'est pas faire le jeu de l'extrême-droite. C'est imposer une exigence, un désir d'absolu à nos revendications, sans se satisfaire des évidences du type : « François Bayrou est difficile à placer sur l'échiquier politique. »
C'est aussi jouer le jeu du dialogue avec celle et ceux qui, à première vue, nous paraissent nos plus parfaitEs opposéEs. Prenons comme exemple cette militante d'Act Up, qui, refoulée sans ménagement par le service d'ordre de Sarkozy, se demanda avec une réelle ouverture d'esprit : « N'y a-t-il pas ici de l'homophilie, plus ou moins secrète ? » Comme elle, et contre tout ce que les bien-pensantEs pourront nous objecter, considérons le spectre de nos revendications sous la perspective des électeurs de l'extrême-droite. Cet exercice n'est pas inutile. Et, sur ce point, Nicolas Sarkozy ne recule pas devant la difficulté.
Les associations LGBT ont cru pertinent d'utiliser son refus d'exclure Christian Vanneste pour le présenter comme homophobe. Or, on ne le répétera jamais assez, on s'intéresse trop à ce que font ou disent ces gens, pas assez à ce qu'ils ou elles ressentent à l'intérieur. Et puisque, vraiment, nos associations sont trop attirées par les enjeux politiques, au lieu de s'intéresser aux individus qui font la politique, posons-leur la question suivante : qui pourrait garantir que l'exclusion de Christian Vanneste de l'UMP n'aurait pas fait le jeu de l'homophobie ?
Et, alors que je crois soulever des problèmes qui nous concernent tous, il me semble nécessaire de rappeler que, pédé out depuis de nombreuses années, je ne peux en aucun être taxé d'homophobie : j'ai signé des pétitions (mais je n'ai jamais compris pourquoi une institution aussi poussiéreuse que le mariage comptait autant pour les pédés et les gouines) ; et j'ai déjà utilisé le mot 'homoparentalité' dans mon dernier éditorial.
Quant à celles et ceux qui me reprochent, après mon dernier éditorial, ne pas aborder les questions liée au sida, et les différence dans les programmes de la gauche et la droite, il semble qu'ils n'ont pas assez réfléchi à ce qui est, pour peu qu'on l'ait abordé avec assez de distance, une évidence : la lutte contre le sida a tellement progressé qu'elle ne représente plus un clivage gauche-droite. Et il faut s'en réjouir, car cela veut dire que les jeux ne sont pas faits.
A vous de Jouer...
Wednesday, February 28, 2007
Tuesday, February 20, 2007
Myspace
Voila mon myspace, je sais pas comment ça marche ni si ça marche.
Donc dites moi si vous entendez quelques chose et si vous pouvez m'aidez...
J'arrive à mettre qu'un seul morceau...
http://www.myspace.com/ladyzoa
Donc dites moi si vous entendez quelques chose et si vous pouvez m'aidez...
J'arrive à mettre qu'un seul morceau...
http://www.myspace.com/ladyzoa
Surtout...
Surtout ne pas pleurer
Surtout ne pas ce plaindre
Surtout ne rien dire
Surtout ne pas être soi-même
Surtout ne pas être faible
Surtout toujours être là
Surtout toujours écouté
Surtout être attentif
Surtout souffrir en silence
Surtout être mature
Surtout ne rien demandé en échange
Surtout ne pas ce plaindre
Surtout ne rien dire
Surtout ne pas être soi-même
Surtout ne pas être faible
Surtout toujours être là
Surtout toujours écouté
Surtout être attentif
Surtout souffrir en silence
Surtout être mature
Surtout ne rien demandé en échange
Thursday, February 15, 2007
J'ai cru voir des étoiles dans ses yeux...
J’ai vu des étoiles dans ses yeux
J’aurais presque cru au Bon Dieu
Je les avait déjà vu dans ses larmes
Quand son visage était de marbre
Mais maintenant il est heureux
Enfin je sais qu’il va mieux
Qu’il voit la beauté des choses
Dans son sourire on dirait des roses
Même si je ne les aurait pas
Je sais qu’elles sont pour toi
Alors prends les avec sa main
Et partez dans le petit matin
Tu verras le monde est presque beau
Quand il t’embrassera ta peau
Tu sais je le connais bien
Un jour il eu droit aux miens
Mais sa bouche t’es offerte
Quand sur une île déserte
J’ai vu des étoiles dans ses yeux
Depuis que vous êtes deux
Je ne l’ai avait pas vu avant
Je n’ai pas pris le temps
De les préserver du monde
De cette vie immonde
Si tu veux aide moi
Protège le plus fort que moi
J’ai vu des étoiles dans ses yeux
J’aurais presque cru au Bon Dieu
Mais c’était que toi…
J’aurais presque cru au Bon Dieu
Je les avait déjà vu dans ses larmes
Quand son visage était de marbre
Mais maintenant il est heureux
Enfin je sais qu’il va mieux
Qu’il voit la beauté des choses
Dans son sourire on dirait des roses
Même si je ne les aurait pas
Je sais qu’elles sont pour toi
Alors prends les avec sa main
Et partez dans le petit matin
Tu verras le monde est presque beau
Quand il t’embrassera ta peau
Tu sais je le connais bien
Un jour il eu droit aux miens
Mais sa bouche t’es offerte
Quand sur une île déserte
J’ai vu des étoiles dans ses yeux
Depuis que vous êtes deux
Je ne l’ai avait pas vu avant
Je n’ai pas pris le temps
De les préserver du monde
De cette vie immonde
Si tu veux aide moi
Protège le plus fort que moi
J’ai vu des étoiles dans ses yeux
J’aurais presque cru au Bon Dieu
Mais c’était que toi…
Le Baiser
Le Baiser-Indochine
Qui pourrait m'aider
Qui pourrait sauver mon âme
Je m'en fous, je voudrais te donner un baiser
Je veux te donner
Je veux te donner un baiser
Laisse moi passer effleurer mes doigts sur toi
Come to me
On va s'embrasser et nos lèvres
Vont se purifier
Tu me donnes un baiser et nos langues
Vont juste s'emmêler
Et ta peau se mouilla, elle aura comme une goûte,
Une goût de lait
Je te respire
Sur ton sourire
Le baiser que tu m'as donné pour t'aimer
Je t'aime comme un fou
Come to me
Come to me
Come to me
Seuls tous les deux, on restera attachés
Comme un adieu
J'envie de te caresser, j'ai envie de ton baiser
Nos lèvres vons se mouiller et nos cheveux vont s'emmêler
Ton sourire effrayé. Oh ! Oh! Corrige moi mes fautes
Embrasse moi
Come to me
Le baiser pour rester rien que nous deux
Pour s'aimer et s'embrasser
Come to me
Come to me
Come to me
Qui pourrait m'aider
Qui pourrait sauver mon âme
Je m'en fous, je voudrais te donner un baiser
Je veux te donner
Je veux te donner un baiser
Laisse moi passer effleurer mes doigts sur toi
Come to me
On va s'embrasser et nos lèvres
Vont se purifier
Tu me donnes un baiser et nos langues
Vont juste s'emmêler
Et ta peau se mouilla, elle aura comme une goûte,
Une goût de lait
Je te respire
Sur ton sourire
Le baiser que tu m'as donné pour t'aimer
Je t'aime comme un fou
Come to me
Come to me
Come to me
Seuls tous les deux, on restera attachés
Comme un adieu
J'envie de te caresser, j'ai envie de ton baiser
Nos lèvres vons se mouiller et nos cheveux vont s'emmêler
Ton sourire effrayé. Oh ! Oh! Corrige moi mes fautes
Embrasse moi
Come to me
Le baiser pour rester rien que nous deux
Pour s'aimer et s'embrasser
Come to me
Come to me
Come to me
Putain de Saint Valentin
Cette année encore, aucune rose
Cette année encore, la solitude
Cette année encore, trop de larmes
Cette année encore, Bridget Jones
Cette année encore, le froid
Cette année encore, la tristesse
Cette année encore, pas de calin
Cette année encore, aucun "je t'aime" même amicale
Cette année encore, aucun bisou
Cette année encore, personne pour moi
Cette année encore, aucune gentillesse
Cette année encore, le coeur à vif
Cette année encore, pas de rêves
Pour la première fois cette année l'assurance que ceux que j'aime sont heureuxSES et ne sont pas seulEs
J'aurais tant voulu un baiser, une caresse, un calin, un regard, un "tu comptes tellement pour moi".
J'aurais tant voulu des bras.
Cette année encore, la solitude
Cette année encore, trop de larmes
Cette année encore, Bridget Jones
Cette année encore, le froid
Cette année encore, la tristesse
Cette année encore, pas de calin
Cette année encore, aucun "je t'aime" même amicale
Cette année encore, aucun bisou
Cette année encore, personne pour moi
Cette année encore, aucune gentillesse
Cette année encore, le coeur à vif
Cette année encore, pas de rêves
Pour la première fois cette année l'assurance que ceux que j'aime sont heureuxSES et ne sont pas seulEs
J'aurais tant voulu un baiser, une caresse, un calin, un regard, un "tu comptes tellement pour moi".
J'aurais tant voulu des bras.
Tuesday, February 13, 2007
Le Masque Et La Plume
Cela me fait plaisir de vous relire. Esperons que cela ne soit pas que des mots, mais là dessus je n'en ai plus vraiment de doute.
Je vous demande juste, Robin, de ne pas douter, jamais douter, de lui, de moi, de vous, de nous, d'eux.
Cela n'en vaut guère la peine, ne gaspillez point votre précieuse énergie à cela, gardez là pour ses devoirs, ainsi que les votres mais cela ne regarde personne cî-bas.
Je vous informe au passage qu'il n'y a point de service après-vente.
J'en suis navrée. Je l'ai cherchée mais nullepart il ne m'a paru.
Vos bras lui serons bénéfique.
Ecrivez moi encore cela me fait tellement du bien.
Laissez votre masque et prenez votre plume.
Il me semble d'ailleurs que votre père, qui n'est point aux cieux je l'espère, manie fort bien la plume.
Me trompe-je ? Diantre, je n'ose penser que oui.
Si j'ai raison, je vous pris de lui présenter mes pages, que je puisse connaitre l'avis d'autres personnes, avec votre accords évidemment.
Je vous en serais gré.
Je vous baise Très Cher...au sens ancien du terme, entre nous soit dit....
Je vous demande juste, Robin, de ne pas douter, jamais douter, de lui, de moi, de vous, de nous, d'eux.
Cela n'en vaut guère la peine, ne gaspillez point votre précieuse énergie à cela, gardez là pour ses devoirs, ainsi que les votres mais cela ne regarde personne cî-bas.
Je vous informe au passage qu'il n'y a point de service après-vente.
J'en suis navrée. Je l'ai cherchée mais nullepart il ne m'a paru.
Vos bras lui serons bénéfique.
Ecrivez moi encore cela me fait tellement du bien.
Laissez votre masque et prenez votre plume.
Il me semble d'ailleurs que votre père, qui n'est point aux cieux je l'espère, manie fort bien la plume.
Me trompe-je ? Diantre, je n'ose penser que oui.
Si j'ai raison, je vous pris de lui présenter mes pages, que je puisse connaitre l'avis d'autres personnes, avec votre accords évidemment.
Je vous en serais gré.
Je vous baise Très Cher...au sens ancien du terme, entre nous soit dit....
Monday, February 12, 2007
Merci D'Exister
Oui merci comme je te l'avais déjà et toujours pas expliqué. Merci d'exister.
Tu es un grand malade certes mais je suis tellement content.
je dédis la pensée du jour, au frère de Sandra, à Lord Kilsco (et pas Krisco), au rôliste,
"L'adolescence avec son sens de la révolte et de l'indépendance, apporte la détermination de trouver la vérité par soi même, ne laissant prévaloir la parole de personne sur sa propre expérience"
Jack Kornfield
Le surnom du Masqué te va bien...Même si tu ne l'es plus du moins je l'espère.
Tu es un grand malade certes mais je suis tellement content.
je dédis la pensée du jour, au frère de Sandra, à Lord Kilsco (et pas Krisco), au rôliste,
"L'adolescence avec son sens de la révolte et de l'indépendance, apporte la détermination de trouver la vérité par soi même, ne laissant prévaloir la parole de personne sur sa propre expérience"
Jack Kornfield
Le surnom du Masqué te va bien...Même si tu ne l'es plus du moins je l'espère.
Friday, February 02, 2007
Passionariem
Six heures du mat’ la nuit s’en va
Le ciel est bleue et je traîne dans Paris
Je vais devant le Flore pour une fois
Sans café crème encore une insomnie
Je chante trois chanson sans conviction
Daho Barbara et Reggiani
Les regards sont hagard devant ma raison
Et puis j’irais embrasser Bowie
Je cherche la Passion
Huit heure du mat’ je m’oublie
Le sol est bleue par les passants
J’attends des amies de Paris
J’irais encore au Flore un instant
Prendre un café crème en étoile
L’art viendra un peu plus tard
Je foutrais bien les grandes voiles
J’attends d’avoir froid pour te voir
Je voudrais la Passion
Dix heure du mat’ le soleil est froid
La rue est bleue comme les sourires
J’irais bien à Londres avec toi
Faire les quatre cents coups et pire
Je me dis que l’art est comme l’amour
Tout est trop abscons pour moi
Je serais une fille pendant les cours
Tout foutre en l’air et surtout toi
Je jette la Passion
Deux heures du mat’ je te vois
Seul tu es bleue au milieu de ton lit
Entre les larmes tu me dis que tu as froid
On ira à Londres une prochaine fois
On fera du monde un grand bordel
On sera les reines du Macadam
Je te rendrais encore plus belle
Je serais vous, n’est ce pas Madame
Je brûle de Passion
Le ciel est bleue et je traîne dans Paris
Je vais devant le Flore pour une fois
Sans café crème encore une insomnie
Je chante trois chanson sans conviction
Daho Barbara et Reggiani
Les regards sont hagard devant ma raison
Et puis j’irais embrasser Bowie
Je cherche la Passion
Huit heure du mat’ je m’oublie
Le sol est bleue par les passants
J’attends des amies de Paris
J’irais encore au Flore un instant
Prendre un café crème en étoile
L’art viendra un peu plus tard
Je foutrais bien les grandes voiles
J’attends d’avoir froid pour te voir
Je voudrais la Passion
Dix heure du mat’ le soleil est froid
La rue est bleue comme les sourires
J’irais bien à Londres avec toi
Faire les quatre cents coups et pire
Je me dis que l’art est comme l’amour
Tout est trop abscons pour moi
Je serais une fille pendant les cours
Tout foutre en l’air et surtout toi
Je jette la Passion
Deux heures du mat’ je te vois
Seul tu es bleue au milieu de ton lit
Entre les larmes tu me dis que tu as froid
On ira à Londres une prochaine fois
On fera du monde un grand bordel
On sera les reines du Macadam
Je te rendrais encore plus belle
Je serais vous, n’est ce pas Madame
Je brûle de Passion
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