J'avais écrit ça pour toi...
c'est pas grand chose, juste quelques mots mis bout à bout.
Même pas en vers. Un début même pas fini...
"Comment te dire les mots interdits
Comment te dire ce que sont mes nuits
Mes rèves que je te fais parfois
Tous les mots qu'on ne se dit pas
Comment te dire le désir insoumis
Comment te dire tout ce qui me poursuit
Ces choses qui nous font tant d'envie
Les roses qui éclairent ma vie
Comment te dire la beauté insolente
Comment te dire tout ce qui me hante
Les pulsions qui m'anime le soir
Quand je pense à toi dans le noir"
J'osais pas trop te le montrer.
Ce soir je ne sais trop quoi penser.
J'ai appris des choses que je ne devrais pas savoir.
Alors peut etre suis je tomber amoureux ou suis je tomber dans le panneau
Même si tu as peur, même si tu n'oses pas, dis moi tout.
J'ai besoin de savoir.
J'ai besoin d'entendre.
Toi,
Toi, qui n'a ni voix, ni mots.
Toi, dont je ne sais rien et pourtant tout.
Toi, qui me connait.
Toi, pour qui je pourrais tout faire.
Toi, l'absent et le présent.
Toi, dont je ne sais que dire que croire.
Toi, que j'estime.
Toi, dont j'ai besoin.
Toi, à qui je dois faire peur.
Je ne sais plus quoi dire à part, parle moi, dit moi tout.
J'ai besoin de toi...
Thursday, May 31, 2007
Monday, May 28, 2007
Marc De Café...
La nuit fut longue, plus pour longtemps
Les rencontres atroces voir difficiles.
Sans jamais le dire, les yeux se mentent
Et nos rêvent se finissent.
Alors on devient un numéro
Etrange sensation.
Et puis l’attente latente, j’ai envie de dire.
Messages sans fond
Et puis gagner une robe, moche.
Ne jamais l’avoir et ne plus vouloir la voir
Des filles à pédés, par dizaines.
290 ou 47 ( 74 si tu es idiote)
« Ta virilité m’existe » C’est pas français…
Eternel pilier de comptoir devant l’Eternel et toujours la même volonté, le sourire des autres, à défaut du sien.
Jeune, très jeune, enfin pour me rattraper…c’est sur je manque de tact, je me le répète souvent.
Mais visiblement, la comparaison avec un acteur d’Un Dos Tres plut.
Je plussoie ou je suppute. Pour les mots compliqués, c’est fait.
Vous dansez ? Non
Vous parlez ? Non
Je parle ? Trop !
Oui, pov’ fille devant l’Eternel aussi…
Toujours est il, que je vais devoir faire quelque chose.
Un café est un café pas une pipe. C’est triste pour certains…
J’ai de plus en plus l’impression qu’il existe plusieurs types de personnes vis-à-vis de moi ;
Ceux qui me voit comme une pute (« viens à ma boutique je t’offre pleins de chose »), ceux qui me voit comme une folle hystéro…ok c’est pas tout à fait faux… et ceux qui me voit comme une salope…(« mais c’est juste un café, hein, pas du sexe »)
Je sais je sais je sais, je donne vraiment une image de moi très étrange. Mais je sais encore faire la différence entre une tasse de café et une bite !
Que l’on m’achève le jour où l’on me voit entrain de lécher une anse de tasse.
Bref, toujours est il, que je suis très fier d’avoir sympathiser avec une personne qui n’a QUE dix ans de plus que moi ou qui n’est pas pute, suicidaire, psychopathe ou en rupture familiale totale.
Le genre de personnes à vous donner l’envie de vieillir pour espérer.
Je partirais aux Etats Unis
NYC
WDC
LA
SFO
Il le fau…..drait
J’ai presque envie de dormir.
A trop vouloir charmer on tombe dans son propre piège.
Les Blonderies, Vol.4
Sleep je sais
On Mars aussi
Mais « Tight » ? Fort ? Dur ?
Et enfin de compte, Life on Mars ?
Et les araignées, elles ne viennent sans doute pas de Vénus.
Dans ce cas, je dois traîner des araignées derrière moi, et en plus elles doivent jouer du Rock
Je fatigue, je l’admets
Ca siffle dehors
Du côté de chez Swann
Envie de poutrer Dave.
Poutrer : verb. Tu vois ta tête ? Tu vois la poutre ? Tu mets les deux ensembles.
Donc, le froid, la fin.
Et l’instant fatidique, mon reflet dans la vitre du métro.
Et là, ça fait mal.
See You Soon, I Hope…
Playlist : Ziggy Stardust and the Spiders from Mars
Phrase du Jour : Rêver ne fait pas mal, Aimer si. Alors rêvons d’amour…Pff Trop nul, je me fais honte parfois….
Vidéo : 1983...ça vous va ? Vous retombez en enfance ? Quoi ? Ca fait mal ? Je sais...
Lundi 28 Mai 2007 à 07h47, Entre nous soit dit...
Les rencontres atroces voir difficiles.
Sans jamais le dire, les yeux se mentent
Et nos rêvent se finissent.
Alors on devient un numéro
Etrange sensation.
Et puis l’attente latente, j’ai envie de dire.
Messages sans fond
Et puis gagner une robe, moche.
Ne jamais l’avoir et ne plus vouloir la voir
Des filles à pédés, par dizaines.
290 ou 47 ( 74 si tu es idiote)
« Ta virilité m’existe » C’est pas français…
Eternel pilier de comptoir devant l’Eternel et toujours la même volonté, le sourire des autres, à défaut du sien.
Jeune, très jeune, enfin pour me rattraper…c’est sur je manque de tact, je me le répète souvent.
Mais visiblement, la comparaison avec un acteur d’Un Dos Tres plut.
Je plussoie ou je suppute. Pour les mots compliqués, c’est fait.
Vous dansez ? Non
Vous parlez ? Non
Je parle ? Trop !
Oui, pov’ fille devant l’Eternel aussi…
Toujours est il, que je vais devoir faire quelque chose.
Un café est un café pas une pipe. C’est triste pour certains…
J’ai de plus en plus l’impression qu’il existe plusieurs types de personnes vis-à-vis de moi ;
Ceux qui me voit comme une pute (« viens à ma boutique je t’offre pleins de chose »), ceux qui me voit comme une folle hystéro…ok c’est pas tout à fait faux… et ceux qui me voit comme une salope…(« mais c’est juste un café, hein, pas du sexe »)
Je sais je sais je sais, je donne vraiment une image de moi très étrange. Mais je sais encore faire la différence entre une tasse de café et une bite !
Que l’on m’achève le jour où l’on me voit entrain de lécher une anse de tasse.
Bref, toujours est il, que je suis très fier d’avoir sympathiser avec une personne qui n’a QUE dix ans de plus que moi ou qui n’est pas pute, suicidaire, psychopathe ou en rupture familiale totale.
Le genre de personnes à vous donner l’envie de vieillir pour espérer.
Je partirais aux Etats Unis
NYC
WDC
LA
SFO
Il le fau…..drait
J’ai presque envie de dormir.
A trop vouloir charmer on tombe dans son propre piège.
Les Blonderies, Vol.4
Sleep je sais
On Mars aussi
Mais « Tight » ? Fort ? Dur ?
Et enfin de compte, Life on Mars ?
Et les araignées, elles ne viennent sans doute pas de Vénus.
Dans ce cas, je dois traîner des araignées derrière moi, et en plus elles doivent jouer du Rock
Je fatigue, je l’admets
Ca siffle dehors
Du côté de chez Swann
Envie de poutrer Dave.
Poutrer : verb. Tu vois ta tête ? Tu vois la poutre ? Tu mets les deux ensembles.
Donc, le froid, la fin.
Et l’instant fatidique, mon reflet dans la vitre du métro.
Et là, ça fait mal.
See You Soon, I Hope…
Playlist : Ziggy Stardust and the Spiders from Mars
Phrase du Jour : Rêver ne fait pas mal, Aimer si. Alors rêvons d’amour…Pff Trop nul, je me fais honte parfois….
Vidéo : 1983...ça vous va ? Vous retombez en enfance ? Quoi ? Ca fait mal ? Je sais...
Lundi 28 Mai 2007 à 07h47, Entre nous soit dit...
Sunday, May 27, 2007
Divaguation
Salut sans A
coucou sans O
et pis j'ai envie d'un amoureux et de faire l'amour
Vous m'emmenez au Boy'z Boudoir ?
coucou sans O
et pis j'ai envie d'un amoureux et de faire l'amour
Vous m'emmenez au Boy'z Boudoir ?
Tuesday, May 15, 2007
Monday, May 14, 2007
Un Garçon Rose
Sur les mots du silence
Qu’un enfance balance
Comme un bouteille à la mer
A qui on offrirai l’enfer
Pour qu’il s’y amuse
Et devienne une muse
Comme un gamin
Qui vous tend la main
Et qui sans rien dire
Sans même prévenir
Vous regarde dans les yeux
Et vous rends amoureux
Une putain de princesse
Qui n’a de cesse
Qu’être la princesse des putains
Qui ferait bander un saint
En pleine nuit noire
En arpentant un trottoir
Que l’on retrouve enfin
Dans le petit matin
Avec du rouge à rêve
Et un baiser sur ses lèvres
Encore une nuit sans dormir
Et a craindre le pire
A faire saigner son corps
A jouer à la mort
A vouloir lui faire l’amour
Se redessiner les contours
D’une peau qui n’est plus la sienne
Ce couteau que la peau aime
Des larmes sur des joues
Des cris à devenir fous
Tant mots à ne pas dire
Tant des rêves à ne pas souffrir
Oublier les cauchemars
Se droguer et rentrer tard
Pleurer au milieu des gens
Ne plus vivre avec le temps
Marcher avec des talons aiguilles
Et puis se prendre pour un fille
Regarder les enfants se rendre
Prendre son temps et se pendre
Comme si nos souffrances
Etaient nos délivrances
Boire de l’absinthe
Faire ça comme une sainte
Les cigarettes sont écrasées
Dans un grand cendrier
Le parquet doré d’étoiles
Nos sangs qui le voile
Et puis s’oublier
Et puis se baiser
Jusqu’au bout
Passer pour des fous
Encore une fois là
Se dire « Aime moi »
Vouloir être amoureux
Ne jamais être vieux
Et puis la vie qui va
Dans ses yeux là
Les coups trop dur
Que l’on endure
Prier un quelconques dieu
Se foutre dans son pieux
Danser sur son pieux
Croire que ça ira mieux
Sentir nos chaires se déchirer
Nos corps névrosés
On verra cela plus tard
Quand il ferra noir
Je dirais sans doute ça
A des gens que je ne connaît pas
Des étoiles dans les yeux
Les larmes des envieux
Dis moi qu’on sera libre
Et que rien ne sera pire
Que nos vie aujourd’hui
Trop seul dans des lits
Trop petit pour un cœur
Qui sans bruit se meurs
Un garçon rose
Qui se névrose
Agenouiller
Devant ses poupées
Des étoiles pour rien
Au creux de ses reins
Une dernière nuit
Sous la lune
Une dernière vie
Sous sa lune
Une dernière envie
Sous la brume…
Qu’un enfance balance
Comme un bouteille à la mer
A qui on offrirai l’enfer
Pour qu’il s’y amuse
Et devienne une muse
Comme un gamin
Qui vous tend la main
Et qui sans rien dire
Sans même prévenir
Vous regarde dans les yeux
Et vous rends amoureux
Une putain de princesse
Qui n’a de cesse
Qu’être la princesse des putains
Qui ferait bander un saint
En pleine nuit noire
En arpentant un trottoir
Que l’on retrouve enfin
Dans le petit matin
Avec du rouge à rêve
Et un baiser sur ses lèvres
Encore une nuit sans dormir
Et a craindre le pire
A faire saigner son corps
A jouer à la mort
A vouloir lui faire l’amour
Se redessiner les contours
D’une peau qui n’est plus la sienne
Ce couteau que la peau aime
Des larmes sur des joues
Des cris à devenir fous
Tant mots à ne pas dire
Tant des rêves à ne pas souffrir
Oublier les cauchemars
Se droguer et rentrer tard
Pleurer au milieu des gens
Ne plus vivre avec le temps
Marcher avec des talons aiguilles
Et puis se prendre pour un fille
Regarder les enfants se rendre
Prendre son temps et se pendre
Comme si nos souffrances
Etaient nos délivrances
Boire de l’absinthe
Faire ça comme une sainte
Les cigarettes sont écrasées
Dans un grand cendrier
Le parquet doré d’étoiles
Nos sangs qui le voile
Et puis s’oublier
Et puis se baiser
Jusqu’au bout
Passer pour des fous
Encore une fois là
Se dire « Aime moi »
Vouloir être amoureux
Ne jamais être vieux
Et puis la vie qui va
Dans ses yeux là
Les coups trop dur
Que l’on endure
Prier un quelconques dieu
Se foutre dans son pieux
Danser sur son pieux
Croire que ça ira mieux
Sentir nos chaires se déchirer
Nos corps névrosés
On verra cela plus tard
Quand il ferra noir
Je dirais sans doute ça
A des gens que je ne connaît pas
Des étoiles dans les yeux
Les larmes des envieux
Dis moi qu’on sera libre
Et que rien ne sera pire
Que nos vie aujourd’hui
Trop seul dans des lits
Trop petit pour un cœur
Qui sans bruit se meurs
Un garçon rose
Qui se névrose
Agenouiller
Devant ses poupées
Des étoiles pour rien
Au creux de ses reins
Une dernière nuit
Sous la lune
Une dernière vie
Sous sa lune
Une dernière envie
Sous la brume…
Subscribe to:
Posts (Atom)