Thursday, December 28, 2006
Les mots qui restent
Quand tout s'en va et que le reste fous le camp, que la pluie obscursit nos visages, et que le reste s'en fout. Quand de toute manières, il ne reste plus qu'a attendre. On se dit qu'il doit se sentir bien seul, et là on souffre. On est pas bien. Le malaise s'installe et on n'ose plus appeller. De peur de déranger. On a toujours peur qu'il souffre mais cette fois ci à cause de nous. Alors on ne fait plus rien. L'hésitation n'est plus de mise. Le moindre faux pas peut être fatal. Du moins c'est ce que l'on croit. De toute façon je ne sais plus et je ne veux plus me torturer l'esprit. Alors j'espere qu'il sait que je suis là, qu'a force de le rabacher il l'a compris. Je l'embrasse, lui et le masqué...entre nous soit dit...tant pire
Il se soigne
Il est con, il se soigne. Enfin j'espere pour lui, roi de la boulette mais on lui en veux pas. Et il m'empeche de voir l'autre blonde.
Je sais ça ne sers à rien...pur vengeance malsaine ^^
Je sais ça ne sers à rien...pur vengeance malsaine ^^
Il va vers l'Est
La route est toujours trop noir, trop longue, trop triste, trop seull, je ne sais plus. Il va vers l'Est, il en est sur. Et même s'il la connait par coeur, elle lui fait toujours un peu peur. Alors les paupières se ferme. Sur des notes d'ivoires, la route se défile. Une musique sans son, sans paroles et sans rien. Juste des rêves pour le plaisir de se dire que demain. Tout sera fini et que l'Est sera loin. Le froid claque sur les vitres et ses pensées s'ensommeillent. Alors pense-t-il à lui qui est resté là bas. Seul dans la ville trop froide dans ses habits trop blanc. Tant qu'elle chante tout va bien, mais si le noir pleut. Que se passera-t-il si les autres s'amusent ? Je voudrais lui chanter une sorte de paradis blanc que l'on oublierais, comme certains leurs rêvent d'enfants. Et si le monde est trop dur, je serais cosmonaute, pour fuir la Terre, la tête dans les étoiles. Les seules qui sont en couleurs. Alors je l'enmenerais, il m'apprendra à être vivant. Comme des enfants sans cheveux blonds. Je pense à lui même si parfois, il me vole la Bétise incarnée. Même si j'ai peur qu'il doute de moi parfois. Je veux qu'ici, il sache que je ne changerais pas, je resterais là pour lui, même s'il reste à l'Est...
Entre nous soit dit...et sans vulgarité, je vous aimes...
Entre nous soit dit...et sans vulgarité, je vous aimes...
Wednesday, December 27, 2006
Gloup Gloup Gloup Gloupier
Sarkozy BHL entarté
Vidéo envoyée par foetus
Non mais c'est tellement bon, oui a la révolution en talons ^^
aux sales mômes...
Les heures sont indécentes, c'est pour cela qu'on les veilles, les regards en qui nous mentent, comme dans nos réveils. Si l'instant est fragile, nos pensées le seront, comme je m'habille de fille, de joies aux rires abscons. Je serais volontiers, resté pour la nuit, mais d'une vie endueillé, il me remercit. Je ne vous oublis pas, vous mes anges nocturnes, comme la lune rougeoit, en allant sur Saturne. Nos lingam sont des foutaises, mais pas autant qu'un vit, de se qui nous baises, et puis s'enfuient. Je resterais ici, même si tout change, comme cette trop noire nuit, qui nous démange. Je vous reverrais, même s'il faut la paradis, pour vous étonner, de votre rire inouït. Combien de fois nos larmes, coulèrent à l'unisson, au même son que les armes, que l'on néttoies sans raisons. Je vous ferrais Poèsie, tant pis s'il est trop tard, car de mes fautes je vous prix, soyons les batards. Les chapeaux noires des statues de cires, d'un musée parisien, vous sont senmblable et pire, de vous je me souviens.
Aux personnes citées par métaphores dans ce texte, trois en totu, et à vous qui me liser sans pleurer, entre nous soit dit...
Aux personnes citées par métaphores dans ce texte, trois en totu, et à vous qui me liser sans pleurer, entre nous soit dit...
Saturday, December 23, 2006
Monday, December 11, 2006
Supreme de Supreme
Ne pouvant nous réduire à cela j'irais ailleurs et surtout loin demain pour vous voir.
L'instant reste fragile. Et l'autre me fait peur mes doutes m'assaille et la confiance défaille. J'espere que tout va bien et que mes doutes ne sont que dérisoires. En attendant je continue ma vie, avec la certitude que nous n'est pas dit.
L'instant reste cour et je vous vois demain, encore trop loin. J'ai envie d'être amoureuse et cette fraicheur me réjouie.
De toute façon je ne serais belle quand rose. La route ne sera pas, au moins en rêve, fausse et vous revoir me tarde.
Entre nous soit dit, je tombe de fatigue et vous aussi...
L'instant reste fragile. Et l'autre me fait peur mes doutes m'assaille et la confiance défaille. J'espere que tout va bien et que mes doutes ne sont que dérisoires. En attendant je continue ma vie, avec la certitude que nous n'est pas dit.
L'instant reste cour et je vous vois demain, encore trop loin. J'ai envie d'être amoureuse et cette fraicheur me réjouie.
De toute façon je ne serais belle quand rose. La route ne sera pas, au moins en rêve, fausse et vous revoir me tarde.
Entre nous soit dit, je tombe de fatigue et vous aussi...
Wednesday, December 06, 2006
La non-demande en mariage
Ma mie, de grâce, ne mettons
Pas sous la gorge à Cupidon
Sa propre flèche
Tant d'amoureux l'ont essayé
Qui, de leur bonheur, ont payé
Ce sacrilège...
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin
Laissons le champs libre à l'oiseau
Nous seront tous les deux priso-
nniers sur parole
Au diable les maîtresses queux
Qui attachent les cœurs aux queues
Des casseroles!
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin
Vénus se fait vielle souvent
Elle perd son latin devant
La lèchefrite
A aucun prix, moi je ne veux
Effeuiller dans le pot-au-feu
La marguerite
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin
On leur ôte bien des attraits
En dévoilant trop les secrets
De Mélusine
L'encre des billets doux pâlit
Vite entre les feuillets des li-
vres de cuisine.
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin
Il peut sembler de tout repos
De mettre à l'ombre, au fond d'un pot
De confiture
La jolie pomme défendue
Mais elle est cuite, elle a perdu
Son goût "nature"
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin
De servante n'ai pas besoin
Et du ménage et de ses soins
Je te dispense
Qu'en éternelle fiancée
A la dame de mes pensées
Toujours je pense
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin
Question de culture : de qui est cette chanson, sans aller sur Google évidemment ^^
Friday, December 01, 2006
On me propose...
On me propose d'écouter du Barbara et "Puisque vous partez en voyage" de Jacques Dutronc et Françoise Hardy...
On me propose de récupérer ma bouteille de popper's...
On me propose des calins...
On me propose du porno sans son, de jeune crevette au fesses arqué comme un siège pour Pierrot et d'hispanique sous testo...
On me propose de vous voir...
On me propose des discuter avec deux atebas sur pas, très jolie par ailleurs...
On me propose de parler avec eux et ils font tout en même temps, ils répondent en même temps et se déconnectent en même temps, l'histoire ne dit pas s'ils baisent en même temps...
On me propose des tas de choses, entre nous soit dit...
On me propose de récupérer ma bouteille de popper's...
On me propose des calins...
On me propose du porno sans son, de jeune crevette au fesses arqué comme un siège pour Pierrot et d'hispanique sous testo...
On me propose de vous voir...
On me propose des discuter avec deux atebas sur pas, très jolie par ailleurs...
On me propose de parler avec eux et ils font tout en même temps, ils répondent en même temps et se déconnectent en même temps, l'histoire ne dit pas s'ils baisent en même temps...
On me propose des tas de choses, entre nous soit dit...
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